Communes de Seine-Maritime

Personnages

Le caricaturiste Alfred Le Petit est inhumé dans le cimetière de Fallencourt.
Les frères Bertin, peintre et sculpteur ordinaires du Roi au 18e, inscription dans l'église.

Histoire

Il est loin le temps (13e siècle) où Fauville avait sous sa dépendance Yvetot et Bolbec. A l'écart du chemin de fer mais à proximité d'un échangeur sur l'A29, ce gros bourg cauchois reste cependant un marché important.

A voir

Eglise Saint-Jean, d'inspiration romano-byzantine, reconstruite après 1945 sur les plans de l'architecte rouennais Pierre Chirol.

Personnage

Marius Grout (1903-1946), écrivain et poète, né à Fauville, inhumé à Incheville, prix Goncourt en 1943 pour le Passage de l'homme.

Généalogistes ayant des ancêtres à Fauville-en-Caux

	Patronymes	Dates
Arnaud Serander	LEGRAS, LEVESQUE	1838-1844

Histoire

La "Légende de Fécamp" voudrait qu'un tronc portant un peu de sang du Christ recueilli par Joseph d'Arimathie se soit échoué à cet endroit, Ce "Précieux sang" est à l'origine de l'un des plus importants pèlerinages de Normandie et de la construction de la célèbre abbaye bénédictine. Les ducs de Normandie résidèrent à maintes reprises à Fécamp dans le château-fort, dont il ne reste plus que quelques vestiges. La pêche est après l'abbaye et la liqueur Bénédictine la troisième image forte de la ville : Capitale des Terre-Neuvas et de la "Grande pêche" à la morue jusqu'au début des années 70, Fécamp a investi pour rester un port de pêche et un port d'échange important.

A voir

Eglise de la Trinité, ancienne abbatiale construite de 1175 à 1220, en remplacement d'un édifice plus ancien dont il reste quelques vestiges romans. Grande nef de 123 m, groupe Dormition de la Vierge en pierre polychrome 1495, stalles et baldaquin 18e par l'architecte rouennais De France, déambulatoire avec clôture de pierre Renaissance, plusieurs chapelles remarquables (dont celle de la Vierge 15e, avec la châsse moderne de la relique du Précieux sang), vitraux, retables, tombeau de Guillaume de Volpiano.
Palais de la Bénédictine, étonnant édifice mi gothique, mi Renaissance, construit en 1892 sur les plans de l'architecte Albert. Abrite le musée de la célèbre liqueur et un centre culturel où se déroulent de nombreuses expositions d'art contemporain.
Musée des Terre-Neuvas et de la Pêche, 27, bd Albert Ier, tel. 02.35.29.76.22. Musée du glorieux passé maritime de Fécamp, inauguré en 1988. La grande aventure des morutiers qui partaient pendant de longs mois vers les eaux glaciales de Terre-Neuves (embarcations, maquettes, outillage), la construction et la réparation navale, plan relief de la ville, audiovisuels et expositions de peinture (salon annuel de la peinture de Marine).
Musée-Centre des Arts de Fécamp, 21, rue Alexandre Legros, tél. 02.35.28.31.99, fax 02.35.29.68.16. Dans un hôtel 18e. Peintures, art religieux. Collection de mobilier régional et local avec reconstitution d'un intérieur cauchois. Salle d'armes et d'ivoires. Etonnante collection de biberons rassemblés par le docteur Léon Dufour (1928).

Personnages

Guillaume de Volpiano, grand constructeur d'abbayes, introducteur de la règle bénédictine en Normandie, il assura dès 1003 la prospérité de l'abbaye de Fécamp, où il est inhumé.
Alexandre Legrand, industriel, "redécouvreur" de la liqueur Bénédictine, collectionneur et fondateur du musée de la Bénédictine.
Docteur Léon Dufour (1856,1928), précurseur dans le domaine de l'hygiène alimentaire infantile, il est le fondateur de l'oeuvre de la "Goutte de lait", et le créateur d'un musée de l'enfance à Fécamp.
Jean Lorrain, pseudonyme de Paul Duval (1855-1906), écrivain, né à Fécamp, auteur des Buveurs d'âmes et de la Maison Philibert. Stèle dans le jardin de l'Hôtel de ville.
Guy de Maupassant vint souvent à Fécamp chez sa grand-mère, Mme Paul Le Poittevin (82, rue Guy de Maupassant actuelle). Fécamp sert de cadre notamment à La Maison Tellier.

Adresse utile

Bibliothèque municipale - Fonds anciens, 1, place du Général Leclerc, tél. 02.35.28.24.35.

A lire

Histoire de Fécamp illustrée, Alphonse Martin, réimp. de l'éd. de 1893 (Ed. Res Universis, 1993).
Du Palais ducal au palais de Dieu, Annie Renoux (Ed. du CNRS, 1991).
Fécamp et sa campagne à l'époque des ducs de Normandie, Robert Soulignac (Ed. EMTN).
Fécamp autour des années 1900 et Fécamp autour des années 1920, Max Lemaître.

Site officiel de la ville de Fécamp. Fécamp sur Normandie Web.

Histoire

Ce village perché du Pays de Bray est formé de la fusion de La Ferté-en-Bray et de Saint-Samson. Dotée d'un château fort (disparu) âprement disputé, cette commune fut le siège d'une vicomté, d'un bailliage et d'une haute justice s'étendant sur une soixantaine de paroisses.

A voir

Eglise Saint-Pierre-et-Saint-Paul, 10e (abside), reste 16e. Important statuaire allant du 15e au 18e.
Panorama sur le Pays de Bray.

A voir

Eglise Saint-Eustache 16e/17e, fine flèche d'ardoise de 54 m.

Histoire

Commune formée en 1823 par la fusion de Flamets, Frétils, Port-Mort et Sausseuzemare-en-Bray.

Personnage

Raimond Lecourt (1882-1946), artiste-peintre, ami de Friez et de Dufy. Il habita dans une aile de l'ancien manoir des Sires de Graville à l'emplacement actuel de l'usine des Eaux.

A lire

L'Histoire d'un village, R. Guillement, A. Legagneux, J. Pilon (mairie).

Histoire

A fusionné, en 1824, avec Tendos.

A voir

Eglise Notre-Dame, 11e (abside), 16e et 19e.
Fontaine (piéta) sur la grande place.

Personnage

Edouard Delamare-Deboutteville (1856-1901) et Léon Malandin (1849-1912), industriels à Fontaine-le-Bourg, les premiers à faire fonctionner une voiture grâce à un moteur à explosion, dès 1883 (monument commémoratif, 1958).

Histoire

A la source du Dun (d'où son nom), cette commune est située en plein pays du lin et de la betterave sucrière.

A voir

Eglise Notre-Dame, 11e/16e, cuve baptismale, cadran solaire, tableaux.

A voir

Fontaine des sources du Robec, une rivière qui de tout temps alimenta Rouen en eau et fit tourner de nombreux moulins.

A voir

Eglise Saint-Martin, 16e/18e, vestiges romans, poutre de gloire 15e avec le Christ entouré de la Vierge et de saint Jean, statues.

Histoire

Au coeur du Pays de Bray, cette station thermale - station verte de vacances doit plus son développement à ses sources ferrugineuses qu'à ses forges anciennes. Mis à part Louis XV, tous les rois de France de Louis XIV à Louis-Philippe peuvent être considérés comme des "enfants de Forges", leurs mères ayant toutes effectué et avec succès, la célèbre cure réputée pour vaincre la stérilité. La première d'entre-elles, qui fit beaucoup pour la renommée de la ville fut Anne d'Autriche, épouse de Louis XIII et mère de Louis XIV, la plus généreuse fut Mme la Dauphine qui donnera naissance successivement à Louis XVI, Louis XVIII et Charles X ! Dès le début de la station, curistes et joueurs firent bon ménage. Ces derniers constituent maintenant l'essentiel de la clientèle forgionne.

A voir

Musée de Faïences, 1er étage, Hôtel de ville, tél. 02.35.90.52.10, fax 02.35.90.34.80. Comprend notamment une intéressante collection de faïences de Forges (19e).
Musée de la Résistance, rue du Maréchal Leclerc, tél. 02.35.90.53.90. Sur 2 étages avec espaces vidéo et bibliothèque.
Musée des maquettes, Parc Hôtel de ville, tél. 02.35.90.52.10, fax 02.35.05.28.15.
Le Parc thermal, sous le Casino, lac avec pédalos, sources. La porte 17e, remontée en bas du Casino, provient de la chapelle du couvent des Carmélites de Gisors, transformée en théâtre et détruite lors de la Seconde guerre mondiale.

Personnages

Louis-Henri Brévière (1797-1869), graveur, né à Forges, restaurateur en France de la "gravure sur bois de bout", Directeur de la gravure à l'Imprimerie Nationale, collaborateur, entre autres, de Gavarni et de Gustave Doré, graveur de plusieurs billets de banque.
La famille Cisseville, elle eut la charge de médecin-fontainier des eaux de Forges de 1692 à 1866 !
Jacques Hébertot (1886-1970), né à Rouen, ce directeur de théâtre parisien, devint propriétaire du Grand Hôtel, des thermes et du casino en 1952. Délaissant quelque peu l'activité thermale, il rénova le casino (celui que nous connaissons actuellement) et anima la vie culturelle forgionne par de nombreuses représentations théâtrales et conférences jusqu'en 1964 où il fut mis en liquidation judiciaire.
Ville d'eaux réputée dès le 16e siècle, Forges reçut de nombreux curistes de marque : Anne d'Autriche, Louis XIII et Richelieu en 1633 (après leur séjour les trois sources prirent le nom de Reinette, Royale et Cardinale), la Grande Mademoiselle plusieurs fois à partir de 1656, le duc de Saint-Simon en 1707, Voltaire en 1724, Mme la Dauphine en 1749, André Chenier en 1792, Michelet en 1860.

A lire

Histoire des thermes de Forges-les-Eaux, Patrick Tailleux (Ed. Bertout, 1991).
Promenade géographique, historique et touristique en Pays de Bray, Michel Coffin, en cinq volumes ! (Ed. Bertout, 1977-1993).

Site de la ville de Forges-les-Eaux

Histoire

Ce bourg, reconstruit après la Seconde guerre mondiale, avait au Moyen-Age une certaine importance. Il disposait alors d'une prison, d'une léproserie, d'un hôpital et d'une abbaye, "trois fois détruite, trois fois reconstruite", démolie à la Révolution.

Histoire

Formée de la fusion, en 1970, de Notre-Dame-de-Franqueville et de Saint-Pierre-de-Franqueville.

A voir

Eglise Saint-Pierre, 17e/18e, retable.
Eglise Notre-Dame, dont les quatre colonnes de la façade proviendraient (en 1882) de l'ancien théâtre des Arts de Rouen incendié en 1876.

A voir

Eglise Saint-Pierre 12e/16e, statues de la Vierge 16e et de saint Roch 17e.

Généalogistes ayant des ancêtres à La Frénaye

	Patronymes	Dates
Françoise Geandier	ANDRIEU, AUBER, BOUVIER, CHEDRU, DELAMARE, DESCHAMPS, DUFOUR, ESTEINER, HAUCHECORNE, HÉBERT, LE CORNU, LEMETEST, LEPICARD, LE ROY, LETERQ, VAUDREL, VINCENT	-

A voir

Château du Val-Freneuse, chapelle, parc.
Eglise Notre-Dame 16e/18c, tableaux.

A voir

Eglise Notre-Dame 13e, peintures murales 14e, retable formé de cinq panneaux représentant des scènes de la Passion (fin 15e). Riche statuaire.

A voir

Eglise Saint-Jacques, 12e/18e, chapelle de la Passion-du-Sauveur 16e, fonts baptismaux.

Histoire

Commune formée, en 1823/24, par la fusion de Fresnoy, Folny et Bailly-en-Campagne.

A voir

Eglise Notre-Dame-de-l'Assomption, 15e/16e, tour-clocher, chapelles Renaissance, mobilier.

Histoire

A fusionné, en 1823, avec Ormesnil-sur-Cailly.

Histoire

Fusionnée avec Argueil en 1975, cette commune a repris son indépendance en 1980.

A voir

Eglise Saint-Martin 13e/19e, choeur 13e, site agréable.

A voir

Croix 17e, dans le cimetière.

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